Bella del Signore: differenze tra le versioni

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In ''[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]]'', numero di dicembre 1968, Jean Freustié descrive il romanzo nei termini seguenti:
 
{{Citazione|[…] un livre extraordinaire, irritant, magnifique, propre à déclencher les passions… C'est un livre fait pour casser l'orgueil. Pour casser tout. Au passage, et dans son pessimisme absolu, il ramène à zéro la passion sexuelle… Je crois saisir en cet esprit très religieux, très religieusement juif d'Albert Cohen, un immense désir de pureté. Qu'on soit ou non d'accord sur le principe sous-jacent, on constatera que ce n'est pas là un des aspects les moins intéressants du livre.}}

[[François Nourissier]], nel frattempo, critica il romanzo ''Belle du Seigneur'' in ''Les Nouvelles Littéraires'', numero di settembre 1968, attraverso figure :

{{Citazione|Quel morceau, Quel monstre ! 845 pages, 32 francs et à peu près autant d'heures de lecture que de francs : on est terrorisé… On tente pourtant l'aventure. On plonge dans l'énorme histoire : alors le mécanisme joue et l'on est piégé. Des beautés éclatantes, des torrents de mauvais goût : on est emporté par l'un, ébloui par les autres. On sort de là un peu stupéfait, la tête vide, mais soyons francs : le jeu en valait la chandelle.}}
 
Paul Creth commenta il romanzo nel numero di novembre 1968 di ''Voix du Nord'' : {{Citazione|''Belle du Seigneur'' est beaucoup plus qu'un roman : un monument, une cathédrale, un morceau de temps recréé dans sa générosité, sa totalité.}}