L'Humanité: differenze tra le versioni

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=== ''L'Humanité'' e la Prima Guerra Mondiale (1914–1920) ===
Lo scoppio della guerra, la morte di [[Jean Jaurès]] e il riallineamento della maggioranza dei dirigenti socialisti francesi all'[[Union sacrée]] trasformano radicalmente il giornale durante l'estate 1914, che a quell'epoca distribuiva circa 100000 copie, contro le 50000 de ''[[La Guerre sociale (1906)|La Guerre sociale]]'' di [[Gustave Hervé]]<ref>[[Jean Touchard]], ''La gauche en France depuis 1900'', éd. du Seuil, 1977, {{p.}}82 (chapitre ''Une conscience de gauche?'')</ref>.
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[[Pierre Renaudel]] succède à Jaurès et choisit une ligne éditoriale favorable à la guerre au nom de la défense de la République. Selon l'historien Alexandre Courban, le journal se trouve alors pris sous une triple contrainte :
* contrainte étatique avec la censure.
* contrainte partisane, (les socialistes majoritaires favorables à la guerre imposent leur ligne).
* contrainte économique du fait du rationnement.
 
[[Pierre Renaudel]] succede a Jaurès e sceglie una linea editoriale favorevole alla guerra in nome della difesa della Repubblica. Secondo lo storico Alexandre Courban, il giornale si trova dunque preso in una tripla morsa:
Finalement en octobre 1918, [[Pierre Renaudel]] est remplacé à la tête de ''L'Humanité'' par [[Marcel Cachin]]. Ce changement traduit la prise de distance croissante des socialistes avec l'[[Union sacrée (mouvement)|Union sacrée]].
* amministrativa: per la censura.
* partigiana: i socialisti in maggioranza favorevoli alla guerra impongono la loro linea.
* economica per il razionamento.
 
Finalmente nell'ottobre 1918, Pierre Renaudel è sostituito alla guida de ''L'Humanité'' da [[Marcel Cachin]], in ossequio alla crescente presa di distanza dei socialisti rispetto all'[[Union sacrée]].
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=== ''L'Humanité'' : organe du [[Parti communiste français]] durant l'entre-deux-guerres (1920–1939) ===
L'année 1920 est un nouveau tournant pour ''L'Humanité''. En effet lors du [[Congrès de Tours (SFIO)|Congrès de Tours]] de la [[Section française de l'Internationale ouvrière|SFIO]], les deux tiers des délégués votent l'adhésion à l'[[Internationale communiste]], transformant la SFIO en « Section française de l'Internationale communiste » (plus tard [[Parti communiste français|Parti communiste]]). Le journal suit la majorité et devient donc l'organe officiel du jeune [[Parti communiste français|PC]].