Zahiriyya: differenze tra le versioni

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Nuova pagina: {{T|francese|diritto|ottobre 2014}} {{avvisounicode}} La '''Zahiriyya''' ({{arabo|ﻇﺎﻫﺮﻳـة|Ẓāhiriyya}}) o '''Zahirismo''' è stata una scuola teologia|t...
 
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== Il contesto ==
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Depuis le {{s|VIII|e}} une dispute se déroule entre les partisans de la tradition des ''gens du hadith''<ref> arabe : ʾahl al-ḥadīṯ,
{{lang|rtl|ar|أهل الحديث}}, ''gens du hadith''</ref> et qui la suivent en matière de théologie comme de jurisprudence et les ''gens de l'opinion''<ref> arabe : ʾasḥāb ar-raʾy,
{{lang|rtl|ar|أصحاب الرّأي}}, ''hommes de l'opinion''</ref>.
 
Dall'[[VIII secolo]] una disputa si sviluppò tra partigiani della tradizione<ref>''Ahl al-ḥadīth'', "Gente del ''ḥadīth''" ({{arabo|أهل الحديث}}),</ref> e quelli che davano grande importanza all'opinione ragionata e motivata, gli ''asḥāb al-raʾy'', "Sostenitori dell'opinione" ({[arabo|أصحاب الرّأي}}.
Comme le souligne [[Ibn Khaldoun]], les habitants du [[Hedjaz]] et ceux en particulier de [[Médine (Arabie saoudite)|Médine]], devraient être les plus versés dans la connaissance de la tradition, mais avec les [[Abbassides]] le centre de gravité du monde musulman se déplace vers [[Bagdad]] où les gens avaient moins eu de contacts directs avec les traditions de [[Mahomet ]], et où certains problèmes comme ceux de l'agriculture prenaient des formes beaucoup plus variées que dans la région de [[La Mecque]]. Aussi, inévitablement une école prenant en compte l'opinion apparut-elle. Elle ne négligea pas la tradition, mais on considéra qu'il était indispensable de la compléter par d'autres codes. En même temps chez les [[Chiisme|chiites]] apparut une tendance à l'ésotérisme appelée [[batin]]îya.
 
Come sottolineava [[Ibn Khaldun]], gli abitanti del [[Hijaz]] e quelli particolarmente di [[Medina]], erano considerati a torto o a ragione i più versati nella conoscenza delle tradizioni ma, con gli [[Abbasidi]], il baricentro del mondo [[musulmano]] si era spostato logicamente a [[Baghdad]], in cui gli studiosi avevano tuttavia meno contatti diretti con le tradizioni attribuite a [[Maometto]], e dove alcuni problemi come quello dell'[[agricoltura]] assumevano svariate forme rispetto alla meno fertile regione e quasi totalmente arida della [[La Mecca|Mecca]].
 
In questo ambiente culturale più ricco e variegato, era inevitabile che il ragionamento personale fosse tenuto in grande conto. Questa linea non trascurava la tradizione, ma si pensava che essa, pure indispensabile, dovesse essere completata ricorrendo ad altri codici. Allo stesso tempo, tra gli [[sciiti]], cominciò a prender piede un movimento di pensiero che tendeva all'[[esoterismo]], chiamato appunto dai suoi avversari ''bāṭiniyya''.<ref>Dal termine [[Lingua araba|arabo]] ''bāṭin'' ("nascosto", "occulto").</ref>[. . .]<!--
 
Ce mouvement tient son nom de la croyance que sous chaque objet évident (zahîr) il y a caché un concept ésotérique ([[batin|bâtin]]). Il fut très puissant sous le règne d'[[Al-Mamun (Abbasside)|Al-Ma'mûn]] (813-833). Le {{s-|VIII|e}} était baigné dans une atmosphère ésotérique mettant en cause les fondements de l'islam comme la nature de Dieu, les fondements du Coran et l'attitude à l'égard du califat. Dans le même temps l'opinion devenait l'égale du Coran et des hadiths et d'un autre côté les [[Motazilisme|mutazilites]] voulaient introduire le raisonnement dans tous les domaines, y compris en matière de foi et de révélation.
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[[Ibn Hazm]] (théologien [[Cordoue|Cordouan]] mort en 1064) a revivifié l'école zhâhirite, mais elle ne lui a pas survécu longtemps. Il est l'auteur du livre de jurisprudence ([[fiqh]]) ''Al-Muhallâ'' qui constitue une référence. Les oulémas des toutes les écoles traditionnelles n'hésitent pas à le citer comme référence.
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== Note ==
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